Better Place a déposé le bilan face à l’échec de ses stations d’échanges de batteries. EDF, Yosef Abramowitz et Energiya Global Capital seraient intéressés par une reprise.

Les stations Quick Drop pourraient trouver un repreneur en Israël, en France ou au Canada

L’échange de batteries Better Place séduit EDF, Arava Power et Energiya Global Capital

Le système ingénieux de l’échange de batterie n’a globalement pas séduit et les constructeurs n’adaptent pas leurs voitures électriques aux stations Quick Drop. Pourtant, des acteurs d’Israël, de France et du Canada sont intéressés. EDF, Yosef Abramowitz, PDG de Arava Power ou encore Energiya Global Capital, diffuseur de technologies solaires en Israël, seraient à la lutte pour un rachat du brevet des stations Quick Drop.

À l’heure où Tesla annonce multiplier la présence de ses Superchargeurs, ces repreneurs potentiels tentent de montrer que l’échange de batterie n’est pas une solution à enterrer.

Abramowitz en pôle pour racheter Better Place, avec le soutient d’Israël

C’est vraisemblablement le businessman Yosef Abramowitz qui serait le mieux placé pour reprendre Better Place. Son entreprise est leader du solaire photovoltaïque en Israël. Il a donc des intérêts à acquérir des infrastructures à énergies renouvelables.

Pour ce faire, le patron et fondateur de Arava Power bénéficie du soutient du gouvernement Israélien. L’entreprise de solaire photovoltaïque a d’ailleurs récemment été autorisé à exécuter son projet de construction d’une centrale photovoltaïque. L’aide du gouvernement local à Yosef Abramowitz est donc total, ce qui pourrait l’avantager face à EDF par exemple.

Tout cela n’est pour le moment pas signé mais l’homme d’affaire semble en bonne voie pour remettre sur roues les stations Quick Drop.


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